« Le club des Feignasses » de Gavin’s Clemente-Ruiz

Éditions Mazarine
Parution le 28 Mars 2018

Très chères Feignasses,

Je vous adresse cette humble lettre pour vous faire part de l’immense plaisir que j’ai eu à faire votre connaissance.
Quand j’ai ouvert ce livre, il m’a fait penser à un sachet de « Dragibus » : à chacun son goût (son histoire),  à chacun sa couleur (ses secrets) mais vous avez tous un cœur tendre sous cette carapace d’humour et de dérision dans votre dur combat commun. Et alors, on y goûte, on déguste et on fond à votre contact. On a cette impression de vous connaître, depuis longtemps, depuis toujours !
Gavin’s Clemente-Ruiz nous offre un conte de « fée(gnasses) » des temps modernes, qu’il aurait pu commencer par « Il était une fois… ». Vous ne vous connaissiez pas et pourtant un lien s’est si soudainement créé entre vous.

Cette force, cette envie de vivre et ce pouvoir désopilant ont eu raison de moi, vous m’avez charmée… Je vous ai suivi le temps de ces 309 pages. Du Parc Monceau à St Malo… J’ai vécu avec vous. Sans que vous n’en sachiez rien, j’étais là, à vos côtés, le coeur serré, un sourire aux lèvres et parfois les larmes aux yeux…

Vous m’avez donné une sacré leçon de vie, de courage, de positive attitude, d’amour, d’amitié… une claque ! Beaucoup d’émotion et de tendresse, j’ai eu plusieurs fois envie de vous serrer tous dans mes bras….
Le Club des Feignasses est le vôtre. Je ne pourrais me résoudre à m’y inscrire, sous peine de ne pas me sentir à la hauteur, ou d’avoir ce sentiment de venir perturber son doux et délicat équilibre…
Et c’est avec tristesse que j’ai terminé ce livre, la gorge nouée de vous laisser… mais quel plaisir de vous avoir côtoyé !
Feignasses, je vous aime, vous allez me manquer !! « Croix de bois, croix de fer,…. »…

« A quoi se résume une vie ? Le souhait d’une existence ? À ce morceau de papier que le vent pourrait emporter, comme ça, d’une simple bourrasque. »

20180829_001326